Laurianne Félicité

le wabi sabi ou l’art d’accueillir l’imperfection

Le wabi sabi ou l'art d'accueillir l'imperfection newsletter

le wabi sabi ou l’art d’accueillir l’imperfection

Avant de plonger dans le sujet d’aujourd’hui, je veux prendre un instant pour te dire merci du fond du cœur pour tous les messages que j’ai reçus, pour tous vos mots si doux et encourageants à propos de ce podcast. Ça me fait vraiment chaud au cœur de sentir votre soutien, et j’ai une immense gratitude de savoir que mes épisodes trouvent une résonance en toi, en vous.

C’est vrai qu’avec mon voyage de six mois, je n’ai pas toujours trouvé le temps de créer de nouveaux épisodes. Mais ce podcast, j’y tiens énormément. Alors même si les publications sont maintenant plus irrégulières, je veux continuer à le faire vivre, parce qu’il fait partie de moi, et parce qu’il me relie à vous.

Et puis, petite annonce importante : le compte Instagram La Magie de l’Âme va bientôt être clôturé. Je n’ai pas le temps de gérer deux comptes à la fois, alors j’ai choisi de rassembler toute mon énergie créative et spirituelle sur un seul espace : mon compte instagram @felilo_art.
C’est là que je partagerai désormais mes créations inspirées des philosophies orientales, mais aussi mes enseignements, mes réflexions et mes annonces importantes. Donc si tu veux continuer à me suivre et ne rien manquer, je t’invite à t’y abonner dès maintenant.

 

Et sans plus tarder, parlons maintenant du Wabi Sabi ou l’art d’accueillir l’imperfection.

Dans les milieux du développement personnel, on entend souvent cette injonction : “tu dois t’aimer davantage.”
Mais dans la réalité, combien d’entre nous savent vraiment ce que ça signifie ? S’aimer ne veut pas dire se regarder dans le miroir et se répéter des phrases positives. Cela commence, je crois, par quelque chose de bien plus profond : accepter nos imperfections, et par extension, celles des autres.

Et pourtant, ce n’est pas un chemin facile. Dans une société où la course au plus jeune, au plus beau, au plus fort, au plus riche mène la danse, accueillir ce que nous considérons comme nos failles peut sembler presque à contre-courant. On nous pousse à gommer nos rides, à cacher nos vulnérabilités, à performer sans cesse. La perfection est devenue un idéal social, mais aussi une prison intérieure.

Je le sais, parce que j’ai moi-même longtemps cherché cette perfection. Dans ma vie personnelle, dans mon corps, dans mon art… jusqu’à comprendre que c’était une lutte perdue d’avance. Alors, un jour, j’ai fait un choix : celui d’arrêter de courir après un idéal inatteignable et de m’ouvrir à une autre voie.

Depuis toujours, ce sont les philosophies et spiritualités orientales qui m’aident à changer mon regard. Elles ont cette façon subtile de nous inviter à ralentir, à observer, à sentir au lieu de vouloir tout contrôler. Elles m’ont appris à déplacer le centre de gravité : de la performance vers la présence, du paraître vers l’être. Et c’est dans cette quête qu’un jour, j’ai croisé le chemin d’une philosophie japonaise qui a profondément bouleversé ma manière de voir la vie : le Wabi Sabi. Une vision du monde qui célèbre l’imperfection, l’impermanence et l’incomplétude, mais aussi la simplicité et l’authenticité. Un art de vivre qui nous invite à poser un autre regard sur nous-mêmes, sur les autres, sur la vie.

Aujourd’hui, j’aimerais t’inviter à explorer cette philosophie qui m’inspire profondément, aussi bien dans ma vie personnelle que dans mes créations artistiques et mes enseignements spirituels. Car je crois que le Wabi Sabi a beaucoup à nous offrir, à nous Occidentaux souvent stressés, pressés, pris dans une course incessante au succès. Il nous propose un chemin de réconciliation avec nous-mêmes, avec le temps, et avec la beauté simple de l’instant présent. »

 

Partie 1 : Qu’est-ce que le Wabi Sabi ?

« Avant de parler de comment le Wabi Sabi peut transformer nos vies, j’aimerais t’expliquer ce qu’il est vraiment.

Le Wabi Sabi est une philosophie japonaise, mais il est difficile d’en donner une traduction exacte, car c’est un concept à la fois esthétique, spirituel et existentiel. Le mot wabi renvoie à la simplicité, à l’humilité, à cette beauté sobre qui se trouve dans la nature et dans les choses modestes. Le mot sabi évoque le passage du temps, la patine, la mélancolie douce qui accompagne les marques de l’âge et de l’impermanence. Ensemble, Wabi Sabi nous parle d’une beauté qui ne réside pas dans la perfection, mais dans la sincérité et l’authenticité de ce qui est.

Historiquement, cette philosophie s’enracine dans le bouddhisme zen et trouve des résonances avec le taoïsme. Elle a été particulièrement mise en avant au Japon à travers l’art de la cérémonie du thé. Dans ce rituel, les bols ne sont pas lisses et réguliers comme on pourrait s’y attendre dans une société de perfection esthétique : ils sont asymétriques, parfois craquelés, faits main, et c’est justement cela qui leur donne leur beauté. Chaque bol est unique, marqué par la main de l’artisan et par le temps.

À travers le Wabi Sabi, les Japonais ont développé un regard radicalement différent de notre culture occidentale : au lieu de chercher à effacer les rides, ils les contemplent comme une trace du vécu ; au lieu de polir les objets pour les rendre neufs, ils honorent leur usure ; au lieu de craindre l’impermanence, ils l’embrassent comme l’essence même de la vie.

Et c’est là que cette philosophie entre en résonance profonde avec nous, Occidentaux modernes. Parce qu’à force de courir après le succès, la jeunesse éternelle et la perfection des images retouchées, nous en oublions la beauté de ce qui est vrai, fragile, éphémère. Le Wabi Sabi nous tend un miroir et nous invite à un autre rythme : ralentir, respirer, accepter que la vie est faite de cycles, de métamorphoses, de passages.

Personnellement, lorsque j’ai découvert le Wabi Sabi, cela m’a touchée au plus intime. J’y ai vu une voie de guérison, une permission d’être imparfaite, et surtout d’aimer cette imperfection comme on aime une trace d’or dans une fissure. C’est devenu un soutien, un fil conducteur dans ma manière de vivre, de créer, d’enseigner.

Partie 2 : Le Wabi Sabi dans notre relation à nous-même

Si le Wabi Sabi m’a autant touchée, c’est parce qu’il ne s’agit pas d’une simple esthétique japonaise, mais d’une invitation à changer de regard sur nous-mêmes.

Longtemps, j’ai eu cet impératif avec mon corps, avec mon image. Comme beaucoup de femmes, j’ai tentée de rester mince, tonique, séduisante… comme si la valeur d’une femme dépendait de sa capacité à rester figée dans une jeunesse éternelle. Et puis un jour, j’ai réalisé à quel point cette quête était violente et épuisante.

Aujourd’hui, j’ai 46 ans. Mon corps n’est plus celui de mes vingt ans : il s’est épaissi, il est parfois fatigué, il porte mes expériences, la naissance de mon fils et mes fausses couches, mes passages et mes naissances intérieures. J’ai les cheveux qui deviennent de plus en plus gris et des rides qui racontent mes rires et mes inquiétudes. Et depuis trois ans, en plein milieu de mon visage, de vilaines taches de vieillesse dues au soleil sont apparues, comme des marques indélébiles du temps qui passe inexorablement.

Face à cela, il n’y a pas mille choix. Soit je lutte vainement, je dépense mon énergie à essayer d’effacer l’inévitable. Soit j’accueille, je lâche prise, et j’accepte que ces marques soient le reflet d’une vie vécue, d’un passage du temps que rien ni personne ne peut arrêter.

Il y a aussi ce mot que j’entends de plus en plus souvent autour de moi : ménopause. Pendant longtemps, il a été entouré de silence, presque comme un tabou, chargé de honte. Mais si je choisis de le regarder à travers le prisme du Wabi Sabi, je découvre qu’il ne parle pas de fin, mais de transformation. C’est un passage, une nouvelle saison de l’existence. Comme l’automne qui succède au printemps : moins éclatant peut-être, mais baigné d’une lumière dorée, d’une intensité différente, plus profonde. Alors j’aime croire que lorsqu’il se présentera, je saurai accueillir ce passage avec sagesse, avec douceur, et peut-être même avec gratitude.

Le Wabi Sabi m’a appris à voir mes cicatrices comme des fils d’or, mes rides comme des paysages, mes taches comme une mémoire inscrite dans ma peau, mon corps comme une œuvre en mouvement. Et surtout, à comprendre que l’imperfection n’est pas une faute à corriger, mais une profondeur à embrasser.

C’est un vrai changement de regard : accepter que je ne serai jamais “parfaite” selon les standards du monde, mais que je peux être pleinement vivante, vraie, vibrante, même et surtout dans mes aspérités.

Et peut-être que toi aussi, tu te reconnais dans cette quête impossible de perfection. Peut-être que tu t’es déjà jugée trop ceci ou pas assez cela. Alors j’aimerais t’inviter à poser un autre regard : et si tout ce que tu vois comme “trop” ou “pas assez” était en réalité ce qui fait ta beauté singulière ? Et si, comme au Japon, au lieu de cacher la fissure, tu la soulignais avec de l’or ?

 

Partie 3 : Le Wabi Sabi dans nos relations à l’autre et au monde

Le Wabi Sabi ne s’arrête pas à notre relation à nous-même. Il s’étend aussi à nos liens avec les autres et au regard que nous portons sur le monde qui nous entoure.

Dans nos relations, nous cherchons souvent, sans même nous en rendre compte, à façonner l’autre pour qu’il corresponde à nos attentes, à notre idéal. Nous espérons qu’il soit plus ceci, moins cela. Mais le Wabi Sabi nous invite à un autre mouvement : accueillir l’autre tel qu’il est, avec ses maladresses, ses failles, ses contradictions. C’est lui offrir l’espace d’être pleinement lui-même, sans masque ni pression de se perfectionner.

Il y a quelque chose de libérateur à reconnaître la beauté dans la vulnérabilité d’autrui. Dans la philosophie zen dont le Wabi Sabi est issu, on parle souvent de la valeur de l’authenticité : ce qui est “vrai”, même imparfait, est plus précieux que ce qui est poli et artificiel. C’est un peu comme dans le kintsugi : la fissure réparée à l’or rend l’objet unique, singulier. Et dans nos relations, ce sont justement ces fissures, ces fragilités partagées, qui créent l’intimité et la profondeur.

Appliqué au monde, le Wabi Sabi change aussi notre regard sur la nature et sur notre environnement. Là où notre société moderne tend à privilégier le neuf, le lisse, le parfait — la feuille verte plutôt que la feuille jaunie, la maison neuve plutôt que le vieux mur patiné —, le Wabi Sabi nous apprend à voir la poésie dans les choses marquées par le temps. Une pierre polie par la mer, une chaise usée, une maison ancienne portent une mémoire que rien de neuf ne peut offrir.

Le monde n’a pas besoin d’être rajeuni ou repeint pour être digne d’amour. Il a simplement besoin d’être vu, reconnu, honoré tel qu’il est. Et c’est peut-être là une des plus grandes révolutions du Wabi Sabi pour nous, Occidentaux : réapprendre à aimer, les choses et les êtres, sans conditions. Voir la beauté dans ce qui est fragile, imparfait, éphémère.

Dans une époque où l’on valorise la performance, l’image et l’efficacité, le Wabi Sabi nous rappelle que la vraie beauté réside dans l’authenticité, dans la simplicité et dans la sincérité des relations et du monde qui nous entoure.

 

Partie 4 : Le Wabi Sabi dans nos pratiques quotidiennes et artistiques

Le Wabi Sabi n’est pas seulement une philosophie abstraite ou un joli concept esthétique. C’est avant tout une manière de vivre, qui se manifeste dans les gestes les plus simples du quotidien et dans nos pratiques créatives.

Dans nos vies, il nous invite à cesser de mettre la perfection au centre. Nous passons tant de temps à corriger, à polir, à vouloir que tout soit impeccable… Que ce soit dans la manière dont nous présentons un repas, rangeons notre maison, rédigeons un message ou organisons notre emploi du temps, nous cherchons trop souvent à lisser, à effacer, à masquer. Le Wabi Sabi propose un autre rapport : accueillir l’imperfection comme partie intégrante de la beauté.
Un repas un peu trop salé mais partagé avec amour a mille fois plus de valeur qu’un dîner parfaitement dressé mais froid de cœur. Un mot griffonné, une rature dans un carnet, un bouquet mal arrangé mais cueilli avec attention, portent une sincérité que la perfection stérile ne connaîtra jamais.

Et dans l’art, cette approche est encore plus libératrice. Pendant longtemps, j’ai pratiqué le dessin figuratif. J’avais ce désir de ressemblance, cette volonté de rendre fidèlement un sujet. Mais très souvent, je trouvais mes dessins rigides, sages, presque sans âme. Comme si, à force de vouloir “bien faire”, je perdais la vie, le souffle, l’énergie que je voulais transmettre.

Et c’est d’ailleurs ce que je ressens parfois face à certaines œuvres dites “parfaites” : irréprochables techniquement, d’une esthétique lisse, sans un seul défaut apparent… mais qui me laissent froide. Parce que ce qui me touche dans une œuvre, ce n’est pas son impeccable surface, mais l’âme qui y circule. Ce sont les irrégularités, les gestes spontanés, les failles visibles qui lui donnent sa vibration. Une œuvre peut être parfaite aux yeux, et pourtant paraitre vide. Le Wabi Sabi m’a permis de comprendre que c’est justement l’imperfection qui ouvre la porte à l’émotion, au vivant, à l’authentique.

Sans le savoir, j’étais déjà en quête de cela : d’une spontanéité, d’un mouvement imparfait mais vrai, d’une trace qui respire. Et c’est ce que je retrouve aujourd’hui dans ma pratique artistique actuelle, plus intuitive, plus sensible, où je laisse les formes émerger, les couleurs se mêler, les accidents devenir des chemins. Là où avant j’aurais peut-être froissé la feuille et recommencé, aujourd’hui je regarde : que m’apprend cette coulure ? Que m’offre ce geste trop large ? Qu’est-ce que cet imprévu vient raconter que je n’aurais pas osé inventer ?

Cette vision traverse tout l’art japonais. Le kintsugi transforme une cassure en trésor en soulignant les fissures avec de la poudre d’or. Dans la calligraphie zen, un trait de pinceau trop rapide ou trop tremblant n’est pas effacé : il est accueilli comme l’expression unique de l’instant. Et les haïkus, ces courts poèmes, ne cherchent pas à tout dire, mais à capturer l’éphémère — un souffle, une saison, une émotion fugace.

Dans l’esprit du Wabi Sabi, l’art n’est plus une démonstration de maîtrise technique. C’est un chemin de résonance, un dialogue avec la matière, un miroir de notre humanité. Et ce chemin n’a pas besoin d’être parfait pour être beau. Il a seulement besoin d’être vrai.

Et c’est exactement la même chose dans nos vies : nous n’avons pas besoin que tout soit “réussi” pour être dignes d’amour. Nous avons seulement besoin d’oser être dans le processus, d’oser goûter à ce qui est là, même si ce n’est pas exactement comme nous l’avions imaginé. »

 Partie 5 : Le temps, notre bien le plus précieux

Si je devais nommer aujourd’hui ma plus grande richesse, ce ne serait pas l’argent, ni mes biens matériels… ce serait le temps. Parce que le temps, une fois qu’il est passé, on ne le récupère jamais.

Et c’est là que le Wabi Sabi vient nous offrir une clé essentielle : il nous rappelle l’impermanence de toute chose. Rien n’est figé, rien ne dure éternellement : ni les saisons, ni les émotions, ni les corps, ni les relations. Tout est en perpétuelle transformation.

Dans la pensée japonaise, cette impermanence n’est pas vécue comme une fatalité douloureuse, mais comme une vérité fondamentale qui nous invite à vivre autrement. C’est la même idée que dans le bouddhisme zen : chaque moment est unique et ne se reproduira jamais sous la même forme. C’est aussi ce que les taoïstes appellent le flux — le mouvement permanent de la vie, auquel nous ne pouvons que nous accorder si nous voulons vivre en harmonie.

Alors que notre société occidentale nous pousse à accélérer, à produire, à remplir nos agendas jusqu’à l’étouffement, le Wabi Sabi nous propose un tout autre rythme : celui du présent. Il nous invite à ralentir, à goûter à l’instant dans toute sa simplicité, parce qu’il est éphémère.

Concrètement, vivre le Wabi Sabi, c’est remarquer la lumière du soleil qui traverse une pièce, c’est s’arrêter pour contempler une feuille qui tombe, c’est apprécier un repas sans téléphone à la main. Ces instants semblent insignifiants, mais ce sont eux qui constituent la trame de notre existence.

Et puis il y a la relation au corps, au temps qui passe dans notre chair. J’ai longtemps ressenti la tentation de lutter contre lui. Mais je réalise aujourd’hui que chaque ride, chaque fatigue, chaque transformation est une invitation à vivre pleinement ce qui est, ici et maintenant, au lieu de courir après une éternité qui n’existe pas.

En réalité, la vieillesse, les changements, la finitude… tout cela nous enseigne une seule et même chose : l’urgence de vivre. Non pas vivre dans l’agitation, mais vivre avec présence. Car ce moment que tu es en train d’écouter, cette respiration, cette pensée qui te traverse… ne reviendra pas.

Le Wabi Sabi nous apprend que le temps est précieux précisément parce qu’il est limité. Et que la vraie beauté de la vie réside dans sa fragilité, dans cette danse entre apparition et disparition.

Alors, si le temps est ma plus grande richesse, c’est parce que chaque instant m’invite à un choix : l’ignorer et courir après autre chose, ou bien m’arrêter et l’habiter pleinement. Le Wabi Sabi me murmure chaque jour : ce qui compte n’est pas hier ni demain, c’est ici, c’est maintenant. »

Conclusion

Le Wabi Sabi nous murmure que la beauté n’est pas dans ce qui est parfait, mais dans ce qui est vrai. Dans une ride, une cicatrice, un instant qui passe.
Il nous invite à ralentir, à aimer plus tendrement, à marcher plus simplement.

Alors, souvenons-nous que chaque pas, chaque souffle, chaque imperfection est déjà un éclat d’or sur notre chemin.

Dans le prochain épisode, nous plongerons ensemble dans les sept préceptes du Wabi Sabi et surtout, dans leurs applications concrètes dans nos vies. N’oublie pas de t’abonner et de cliquer sur la cloche pour être avertie lorsque cet épisode sera publié.


Et avant de conclure cet épisode, je veux aussi te partager une belle nouvelle : une nouvelle session de ma formation Devenir Médium avec Intuitif Process commence très bientôt. Si tu sens l’appel de mieux comprendre, développer et apprendre à maîtriser tes capacités intuitives, psychiques et médiumniques, c’est le moment de réserver ta place. Tu peux même réserver un appel découverte formation directement sur mon site. Lors de mes formations je t’accompagne pas à pas, dans le même esprit d’authenticité et de simplicité que nous avons exploré aujourd’hui à travers la philosophie du Wabi Sabi.

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