Laurianne Félicité

Et si la mort n’existait pas?

Et si la mort n'existait pas

Et si la mort n’existait pas?

Et si la mort n’existait pas ?

Ferme les yeux un instant. Et imagine…
Et si ce moment qu’on appelle “la mort” n’était pas un point final, mais une virgule ? Une transition douce vers un nouveau chapitre de l’histoire de ton âme ?

Je sais, c’est un peu vertigineux. Mais reste avec moi — parce que ce n’est pas une idée farfelue, ni un simple espoir. C’est une réalité que j’ai découverte très jeune.

Petite, je ressentais si clairement la présence de ceux dont on disait qu’ils étaient “partis”. Quand on parlait d’eux, j’avais l’impression qu’ils étaient là, tout près, à écouter. Et puis, il y avait les nuits… Ah, les nuits étaient particulières. J’apercevais parfois des présences. Pas effrayantes, non — juste assez réelles pour que je me cache sous les draps, le cœur battant.

Plus tard, j’ai commencé à entendre mes guides spirituels. Et un jour, alors que je discutais avec quelqu’un, sa grand-mère est apparue sur mon écran intérieur — claire, lumineuse, souriante. Elle lui adressait un message et j’ai perçu des détails si précis qu’aucun doute n’était possible. C’est là que tout a commencé.

Une porte s’est ouverte. Une nouvelle voie, celle de la connexion consciente avec l’invisible. Et tu sais quoi ?
Cette capacité n’a rien de “magique” ni d’extraordinaire. Ce n’est pas un don réservé à quelques élus. C’est une compétence. Un muscle de l’âme, que chacun peut réveiller et renforcer.

Depuis ce jour, j’ai suivi de très nombreuses formations et j’ai beaucoup pratiqué. Et j’ai vu combien cette connexion peut être réconfortante, guérisseuse même. Parce qu’en réalisant que nos proches sont toujours là, on apaise la peur de la mort. On comprend que quelque chose en nous est infini. Que la mort n’est pas une fin, mais un passage. Et ça, ce n’est pas une croyance. C’est une expérience. Une certitude née du vécu.

Alors… prêt·e à plonger avec moi, et à explorer ce qu’il y a derrière le voile ?


Démasquer l’illusion de la mort

Notre peur de la mort agit souvent comme un voile. Un brouillard épais qui obscurcit notre compréhension de la vie et nous empêche de ressentir la présence de ceux qui nous ont quittés. Et si, ensemble, on osait regarder derrière le rideau ? Pas pour se faire peur, mais pour voir ce qu’il y a vraiment derrière.

Quand on observe le monde, on réalise que presque toutes les cultures, depuis la nuit des temps, ont cherché à comprendre ce passage mystérieux. Et ce qui est fascinant, c’est que malgré leurs différences, elles racontent toutes la même chose : la vie continue.

En Égypte ancienne, on croyait que le cœur — symbole de la vérité — était pesé après la mort. Ce moment déterminait si l’âme était prête à rejoindre l’au-delà. Un voyage, donc, pas une fin.
Au Mexique, le Día de los Muertos célèbre la rencontre des mondes. Les familles dressent des autels, déposent des fleurs, des bougies, des mets colorés, et accueillent les esprits comme des invités d’honneur. Là-bas, la mort est une fête, un retour à la maison.
Dans le bouddhisme et l’hindouisme, la mort fait partie d’un grand cycle de renaissance. L’âme continue d’évoluer, de se perfectionner, jusqu’à atteindre la libération. La conscience ne s’éteint pas — elle se transforme.
Et dans les traditions autochtones, la mort est simplement le passage d’un plan à un autre. Les ancêtres deviennent guides, protecteurs, et rappellent sans cesse aux vivants l’interdépendance de toutes choses.

Partout, on retrouve la même idée : la continuité, la connexion, et cette présence invisible qui nous relie les uns aux autres, au-delà du temps et des formes.
Comme le dit Neale Donald Walsch dans Éveiller les espèces :

“La séparation n’est qu’une illusion. Tout est Un.”

Quand on comprend cela, quelque chose se détend à l’intérieur. La peur perd son emprise. Le cœur s’ouvre.
Changer notre regard sur la mort, c’est comme déverrouiller une porte secrète dans notre propre conscience. C’est reconnaître que la vie est un continuum — que tout est relié, et que rien ne se perd vraiment.

Agapi Stassinopoulos le dit magnifiquement dans Parler avec l’Esprit :

“Quand nous faisons de notre vie une offrande à la Vie, nous transcendons la peur et retrouvons la paix.”

Et c’est exactement ça. Quand on cesse de craindre la mort, on commence enfin à vivre pleinement. On chérit chaque instant, on goûte la beauté du présent, et on accueille l’inconnu avec curiosité plutôt qu’angoisse.
La mort n’est pas l’opposé de la vie. Elle en fait partie. C’est le mouvement même de la grande danse cosmique.


Vision énergétique et quantique de la mort

Et si la science venait aujourd’hui confirmer ce que la sagesse spirituelle enseigne depuis toujours : que rien ne meurt, tout se transforme ?
Les grandes lois de la physique moderne, comme celle de la conservation de l’énergie, l’affirment sans détour : rien ne se perd, rien ne se crée, tout se métamorphose. L’énergie vit, circule, se réorganise — elle ne disparaît jamais.

Et si l’on admet que la conscience elle-même est une forme d’énergie subtile, alors sa continuité devient une évidence naturelle.
Le physicien Max Planck, fondateur de la théorie quantique, affirmait déjà :

“Je considère la conscience comme fondamentale. La matière découle de la conscience.”

Une phrase simple, mais vertigineuse. Elle renverse la vision matérialiste du monde pour placer la conscience au cœur même du réel.
Plus tard, David Bohm, collaborateur d’Einstein, parlera du champ implicite — un niveau invisible de réalité où toute information reste présente, même après sa disparition apparente dans le monde physique.

Autrement dit, tout ce que nous croyons “perdu” continue d’exister sous une autre forme vibratoire, dans ce champ unifié qui relie toute chose.
Robert Lanza, auteur de la théorie du Biocentrisme, va encore plus loin : selon lui, la mort est une illusion liée à notre perception linéaire du temps. L’univers ne serait pas extérieur à nous, mais le produit de notre conscience. Lorsque le corps cesse de fonctionner, la conscience — qui ne dépend ni du temps ni de l’espace — continuerait simplement son voyage sur une autre fréquence.

Ces passerelles entre science et spiritualité dessinent une vision profondément réconciliée du monde. Elles nous invitent à voir la mort non plus comme une disparition, mais comme un changement d’état énergétique, une translation vibratoire.
La physique quantique parle d’un champ unifié, un océan d’énergie où tout est interconnecté. Les mystiques parlent d’unité, de présence, de continuité de la lumière. Deux langages pour décrire une même vérité : la vie est un mouvement permanent, une onde qui ne s’interrompt jamais, seulement change de fréquence.
Et quand on saisit cela, la peur de la mort se dissout naturellement. Parce qu’au fond, nous ne sommes pas des êtres humains ayant parfois des expériences spirituelles — nous sommes des êtres spirituels ayant, pour un temps, une expérience humaine.


La mort symbolique et les renaissances intérieures

Et si la mort n’était pas seulement ce grand passage dont on parle tant… mais aussi toutes ces petites morts initiatiques que nous traversons au fil de notre vie ?
Chaque fois que nous laissons derrière nous une part de nous-même, un rôle, une identité, une croyance, quelque chose en nous meurt — pour que quelque chose de plus vrai puisse naître.

Nous vivons sans cesse des cycles de fin et de recommencement. Des amitiés qui se terminent, des projets qui s’éteignent, des périodes de vie qui se referment, parfois dans la douleur, et pourtant, ces moments marquent souvent les grands tournants de notre évolution.

Les traditions spirituelles parlent de mort initiatique : ces passages de transformation profonde où l’ego se délite, où l’ancien “moi” s’effondre pour permettre à la conscience de s’élargir.
C’est le principe même de la croissance spirituelle : mourir à ce qui n’est plus aligné, pour renaître à ce qui est vivant.

La psychologie jungienne décrit ce processus comme une traversée nécessaire du “monde souterrain” : le moment où l’on descend dans ses ombres, où l’on confronte ses peurs, ses pertes, ses illusions, pour en extraire une lumière plus pure, plus consciente.
C’est un passage initiatique que chacun vit, souvent sans le savoir.

Dans la philosophie japonaise wabi-sabi, la beauté réside dans l’impermanence : dans ce qui se fissure, s’altère, se transforme. Rien n’est perdu — tout est métamorphose.
Et c’est peut-être cela, la véritable sagesse : accepter que la vie soit une succession d’éclosions et d’adieux, une danse permanente entre la fin et le recommencement.

Quand on comprend que ces “morts” ne sont pas des pertes, mais des initiations, alors on cesse de résister. On s’abandonne au mouvement naturel de la Vie, et on découvre en soi une paix nouvelle — celle de l’âme qui sait que tout changement est, en réalité, une renaissance.


De la mort intérieure à la mort collective

Et si ces transformations intérieures que nous traversons n’étaient que le reflet d’un mouvement plus vaste ?
Comme si, à travers chacune de nos renaissances personnelles, l’humanité tout entière apprenait elle aussi à mourir à son ancienne façon d’être — pour s’ouvrir à une nouvelle conscience.

Nous ne faisons qu’un avec le monde : nos passages, nos mues, nos guérisons intérieures participent à un grand tissage collectif.
Et peut-être que ce que nous appelons aujourd’hui “crise”, “chaos” ou “changement d’ère” n’est rien d’autre qu’une mort symbolique planétaire — le passage d’une humanité endormie à une humanité éveillée.

Quand nous apprenons à accueillir nos petites morts avec amour, nous aidons la Terre entière à traverser la sienne avec douceur. Parce qu’en vérité, il n’y a pas de séparation entre notre lumière individuelle et la lumière du monde. Tout est relié.


La mort collective : la mutation vibratoire de l’humanité

Regarde autour de toi : les anciens repères s’effritent, les structures se désagrègent, les systèmes de pouvoir, d’économie, d’éducation, de santé — tout semble en mutation. Mais derrière cette apparente désintégration, quelque chose de plus grand est en train de naître.

Nous vivons une mue vibratoire, un changement de fréquence de la conscience humaine. Comme une chenille qui, croyant mourir dans son cocon, se transforme en papillon sans savoir encore qu’elle est en train d’apprendre à voler.

Le philosophe et théologien Pierre Teilhard de Chardin l’avait pressenti : l’humanité évolue vers un point d’unification de la conscience, la noosphère — une sphère invisible reliant toutes les âmes, préfigurant une ère d’interconnexion spirituelle.
Le biologiste Rupert Sheldrake parle, lui, de champs morphiques : des champs d’information partagés où chaque être vivant influence et est influencé.

Chaque fois qu’un humain guérit une peur, ouvre son cœur ou pardonne, il contribue silencieusement à l’évolution du champ collectif. Nos transformations personnelles participent à la guérison du monde.
Nous passons d’une réalité centrée sur la peur et la survie à une réalité fondée sur l’unité, la coopération et l’amour.
Oui, cela peut être inconfortable. Oui, cela peut ressembler à la fin d’un monde. Mais ce n’est pas la fin. C’est une transition évolutive, une initiation collective.


Apprendre à communiquer avec les défunts

Parce que toi aussi, tu peux apprendre à communiquer avec le monde spirituel. Pas seulement avec tes proches disparus, mais aussi avec les défunts des autres — pour transmettre ces messages qui apaisent, ramènent la paix et ouvrent le cœur à la beauté du lien entre les mondes.

Ce n’est pas un don réservé à quelques élus. C’est une compétence énergétique, une langue vibratoire que chaque âme peut réapprendre.
Et c’est exactement ce que tu découvriras dans ma formation Apprendre à communiquer avec les défunts.

Dans cet accompagnement, je t’enseigne pas à pas comment te connecter avec sécurité et douceur aux plans vibratoires subtils, reconnaître et interpréter les messages reçus avec confiance, valider ces signes à travers des preuves tangibles, et offrir une expérience lumineuse et apaisante à ceux qui traversent le deuil.

Cette formation est bien plus qu’un apprentissage : c’est un voyage spirituel, une transformation intérieure profonde, un retour vers la sagesse de ton âme.
Les inscriptions sont ouvertes pour la prochaine session, en février, avec une offre spéciale Early Bird pour les premières inscrites.

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Conclusion

Alors respire un instant. Ressens ton cœur. Et souviens-toi : la vie ne s’arrête pas. Elle change de forme, elle circule, elle danse entre les mondes. Ce que nous appelons “mort” n’est qu’un passage, une transformation, une ouverture vers un autre plan de conscience.
Et quelque part, derrière le voile, ceux que tu aimes continuent de t’accompagner. Dans un souffle, une lumière, une intuition soudaine. Ils ne sont pas partis — ils t’invitent simplement à les ressentir autrement.

Continue d’aimer. Continue d’écouter. Continue de t’ouvrir à ces signes discrets. Parce que chaque fois que tu le fais, tu contribues à relier les mondes, à apaiser une peur et à ramener un peu plus de lumière sur cette Terre.

La mort n’est pas une fin. C’est une transition.

Et l’amour, lui, ne meurt jamais.


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